Cadeaux et bons d'achat pour Noël : régime social

Les prestations allouées par le comité d’entreprise ou par l’employeur directement, dans les entreprises de moins de 50 salariés dépourvues de comité d’entreprise peuvent sous certaines conditions être exonérées du paiement des cotisations et contributions de Sécurité sociale.

Concernant les bons d’achat ou cadeaux, la lettre ministérielle du 12 décembre 1988 a posé une présomption de non assujettissement de l’ensemble des bons d’achat et cadeaux attribué à un salarié au cours d’une année civile, lorsque le montant global de ces derniers n’excède pas 5% du plafond mensuel de la Sécurité sociale.
La suite de l’article sur urssaf.fr

Assedic et ANPE en grève contre la fusion des deux organismes

Un peu plus de 60 % des 14 000 employés de l’Assedic étaient en grève, mardi 27 novembre, contre la fusion de leur organisme avec l’Agence nationale pour l’emploi, indiquait la direction de l’Unedic (Union nationale interprofessionnelle pour l’emploi dans l’industrie et le commerce) à la mi-journée. Cinq syndicats CFDT, FO, CFE-CGC, CFTC, CGT avaient appelé à la grève, avec pour mots d’ordre la défense de la convention collective et le maintien, parmi les fonctions de l’Assedic, de la collecte des cotisations, que le gouvernement veut transférer d’ici à 2012 à l’Urssaf (Union de recouvrement des cotisations de sécurité sociale et d’allocations familiales).
La suite de l’article sur lemonde.fr

Etes-vous bien représentés par les Syndicats ?

Waldeck-Rousseau. Le ministre de l’Intérieur de Gambetta, fut un défenseur de la liberté d’association. Et c’est grâce à lui que le principe de la liberté syndicale fut adopté en France par la loi du 21 mars 1884, dite justement loi Waldeck-Rousseau.

Dès lors, les syndicats purent se créer librement et se grouper en unions, fédérations et confédérations. Leur influence leur permit de faire aboutir leurs premières revendications, comme le repos hebdomadaire ou la limitation de la durée du travail.
La suite de l’article sur lefigaro.fr

Les CE régionaux dénoncent des rachats d'actions de Siemens

Le conglomérat allemand pense à racheter des actions pour un volume allant jusqu’à 10 milliards d’euros d’ici fin 2010.

Les comités d’entreprise régionaux de Siemens ont montré leur opposition, lundi 19 novembre, aux rachats d’actions prévus par le conglomérat.
Un communiqué dénonce le fait que la direction du groupe allemand « a affaibli pour longtemps la capacité d’investissement et d’innovation par la destruction de 10 milliards d’euros via des rachats d’actions ».
La suite de l’article sur challenges.fr

Pour geler le plan social chez Miko, la CGT est prête à lâcher les RTT

La filiale d’Unilever souhaite supprimer la moitié des emplois du site de Saint-Dizier.
A Saint-Dizier (Haute-Marne), les glaces Miko mettent le paysage syndical cul par-dessus tête. En cause, les déclarations d’un responsable CGT de cette usine appartenant au groupe Unilever qui vient d’annoncer, pour 2008, une restructuration prévoyant 254 suppressions de postes sur 493 : «Les RTT, quand on est au chômage, ça ne sert pas à grand-chose […]. On est prêt à discuter là-dessus pour éviter que la moitié d’entre nous ne se retrouve au chômage», affirmait mercredi Hervé Mazelin, cité par l’AFP.
La suite de l’article sur liberation.fr

Transport: en attendant les négociations, les perturbations continuent ce week-e

Moins nombreux mais plus déterminés, les grévistes ont décidé jeudi soir de poursuivre le mouvement alors que les négociations entre les syndicats et le gouvernement sont au point mort. Du coup, les transports publics sont encore très perturbés ce vendredi, et devraient l’être encore samedi, les premières assemblées générales de cheminots et des agents de la RATP ayant décidé de reconduire la grève.
La suite de l’article sur latribune.fr

Les salariés de Kronenbourg s'inquiètent d'un rachat de leur propriétaire

Ils attendent et sont « désabusés », « démotivés » et « inquiets », selon leurs représentants syndicaux. Les salariés de Kronenbourg vivent depuis quelques années au rythme des rumeurs de rachat de leur propriétaire britannique Scottish & Newcastle (S & N), dont l’actionnariat dispersé fait une proie idéale. Mais, depuis le 25 octobre, une offre commune de près de 10 milliards d’euros a été déposée par le danois Carlsberg et le néerlandais Heineken, et rejetée aussitôt.
La suite de l’article sur lemonde.fr

Grèves: journée noire dans les transports, mais espoir de négociations en vue

Les agents de la RATP ont rejoint ce mardi les cheminots dans leur grève reconductible contre la réforme des régimes spéciaux de retraites. Le trafic dans les transports publics est ainsi très fortement perturbé. Mais alors qu’on attendait un conflit de longue durée, les discussions entre les syndicats et le gouvernement ont repris mardi soir. Une réunion de sortie de crise entre les deux parties est prévue ce mercredi matin.
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Photonis (imagerie médicale et militaire) supprime 121 postes à Brive

Le groupe Photonis, spécialiste mondial de la photodétection, dont le siège est situé à Brive-la-Gaillarde (Corrèze), va supprimer 121 postes sur les 643 que compte son unité corrézienne, a-t-on appris mardi à l’issue d’un Comité d’entreprise.

Le groupe Photonis, spécialisé dans l’imagerie médicale ou la vision nocturne à usage militaire, est confronté depuis plusieurs années à un effondrement des ventes de photomultiplicateurs (tubes électronique permettant la détection de photons).
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Le CCE de SFR débouté en justice

Il estimait que la direction avait violé un accord en lançant un plan d’externalisation de centres d’appel sans concertation avec les élus.
Le tribunal de grande instance (TGI) de Paris a débouté, mardi 6 novembre, le Comité central d’entreprise (CCE) de SFR, qui reprochait à l’opérateur téléphonique de ne pas l’avoir informé et consulté dans le cadre du processus d’externalisation de trois centres d’appel. Il réclamait en conséquence, non pas la suspension de ce processus, mais 20.000 euros de dommages et intérêts.
La suite de l’article sur challenges.fr

Alcatel-Lucent supprime encore 4 000 postes

Les salariés sont inquiets du nouveau plan de réduction des effectifs et de la stratégie de l’équipementier.

LA FACTURE sociale est lourde pour Alcatel-Lucent. L’équipementier en télécommunications a annoncé hier comprimer ses effectifs mondiaux de 4 000 postes supplémentaires d’ici à 2009 (nos éditions du 31 octobre). Le but est d’économiser 400 millions d’euros par an, qui s’ajoutent aux économies déjà programmées (1,7 milliard sur trois ans). D’abord 9 000 départs avaient été annoncés lors de la fusion entre le Français Alcatel et l’Américain Lucent en avril 2006. Puis, en février dernier, ce plan avait été relevé à 12 500 suppressions de postes sur trois ans. Actuellement, le groupe emploie près de 80 000 salariés dans le monde dont 12 000 dans l’Hexagone.
La suite de l’article sur lefigaro.fr

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