Catégorie : Social

Les rumeurs se suivent au sujet de Vivendi Universal. Selon Le Monde (généralement bien informé) de cet après-midi, Canal+ Group va tenir un comité d’entreprise extraordinaire mercredi après-midi. Lors de cette réunion, la direction devrait annoncer la cession de Canal+ Technologies à Thomson Multimédia.

La commission des droits de la femme et de l’égalité des chances vient d’adopter à l’unanimité un rapport d’initiative de Mme Miet SMET (PPE-DE, B) sur la représentation des femmes dans les organes des partenaires sociaux de l’Union européenne.

Les syndicats ont perturbé mercredi la présentation du projet.

Le processus de privatisation d’Air France a été lancé, mercredi, dans une ambiance particulièrement exécrable. Certes, le mouvement de grève, à l’appel de trois syndicats (CGT, SUD et Alter) n’a, selon la direction, occasionné aucune perturbation, du fait d’une «mobilisation très faible».

PRIÈRE de ne pas déranger, il y a du monde derrière la porte du service recrutement. Quatre salariés sont allongés sur des matelas pneumatiques, emmitouflés dans leurs sacs de couchage : ils dorment à poings fermés. Depuis le 5 septembre, date de l’échec du premier comité d’entreprise de rentrée, les 216 salariés d’Euro CRM TMK, la société de télémarketing à l’agonie depuis le retrait de son unique client, le câblo-opérateur Noos, occupent les locaux à tour de rôle.

FLEURINES, hier matin. Les ouvriers de l’imprimerie SNIL ont arrêté à 90 % la production de l’usine. Motif de leur colère : une erreur dans le calcul de leurs congés payés mais surtout l’avenir incertain de l’entreprise.
Le feu couvait depuis la mise en redressement judiciaire de l’imprimerie fleurinoise, le 1 e r août dernier. Mais c’est dans la soirée de mardi que le personnel de la SNIL a décidé d’entamer un mouvement de grève illimité.

Le comité d’entreprise de la compagnie nationale examine, mercredi et jeudi, le projet du gouvernement de ramener la part de l’Etat à moins de 25 % du capital. Pour rassurer les salariés inquiets, la direction a confirmé le maintien de leur statut et de leurs avantages.

MONTAUBAN (82) – Le comité d’entreprise, de cette usine de meuble, actuellement en dépôt de bilan, a été reçu hier au tribunal de Commerce
Une trentaine de salariés de Capelle se sont rassemblés hier matin devant le Tribunal de commerce. Pour soutenir les représentants du comité d’entreprise des Ets Capelle qui devaient y être reçus à partir de 10 heures. Un mot d’ordre de débrayage avait été lancé au sein de l’entreprise pour la journée d’hier. « Si on ne montre pas notre mécontentement, personne ne le fera pour nous », souligne Henriette Sallan, déléguée du personnel Force Ouvrière.

Près d’un an après la catastrophe qui a touché l’usine AZF de Toulouse, la majorité des syndicats semblent prêts à accepter le plan social proposé par la direction. Une séance de négociation a eu lieu lundi, et les syndicats ont tenu une assemblée générale hier, afin d’informer les salariés. S’il résulte de leur abstention au vote de fin de séance un mécontentement au sujet de la fermeture de l’usine, la plupart des salariés reconnaissent que les conditions du plan social proposé par la direction de l’usine sont tout à fait honnêtes. Sur les 450 salariés présents lors de l’explosion, 175 sont partis en préretraite, 80 devraient faire de même après la dépollution du site, une quarantaine ont été mutés, et 156 devront choisir entre un reclassement au sein du groupe Total Fina Elf ou dans d’autres entreprises de la région. Une seconde assemblée générale des salariés doit avoir lieu aujourd’hui.
source : www.en-droit.com

Les syndicats de l’Européenne d’impression ont transmis à la justice une note sur des « irrégularités » constatées dans la procédure de liquidation

Pas de répit pour les trois syndicats CGT, CFDT et CGC de l’entreprise « Européenne d’impression » pris par les délais de demande de levée de la procédure de liquidation judiciaire qui touche le site perpignanais.

Après Alcatel câbles, c’est la division « câbles sous-marins » du géant français qui est frappée de plein fouet par la crise. Près de 500 salariés ne travailleront qu’à 50% au dernier trimestre.

PARIS (AFX) – Le Comite d’entreprise du groupe de presse Tests, qui s’est reuni vendredi, organisera lundi a 15h00 une Assemblee generale des salaries afin de leur exposer la teneur de cette reunion, a indique a l’AFX la secretaire du CE, Eliane Gueylard.

Rien n’a filtre sur la teneur de ce CE mais depuis plusieurs semaines, des sources concordantes craignaient l’annonce d’un plan social « drastique » portant sur l’ensemble du groupe Tests et visant 100 a 150 personnes.

« Nous faisons une assemblee generale lundi 9 a 15h00, nous ne communiquerons a personne avant, car la communication doit etre en priorite faite aux salaries et il est hors de question de prevenir qui que ce soit d’une facon individuelle avant », a explique Mme Gueylard.
Une source interne au groupe a fait etat aupres de l’AFX d’un e-mail invitant les salaries a cette AG, ou le Comite d’entreprise exposera « un projet de restructuration », selon cette source.
Leader francais de l’information sur les nouvelles technologies, le groupe Tests — quelque 500 salaries — edite notamment douze revues, comme 01 informatique, Decision Micro et Reseaux, Internet Professionnel, L’Ordinateur individuel, Micro Hebdo et Le Nouvel hebdo.
Les magazines de la net-economie subissent actuellement une dure recession, due a la crise publicitaire et a l’eclatement de la bulle internet.

Licenciements au long cours. Le gouvernement Raffarin a prévu de réformer le texte mis en place en janvier.
Pour des raisons opposées, les deux bords critiquent la procédure.
«Certains syndicats se servent des nouvelles dispositions pour faire de l’obstruction.» Une déléguée CFDT