Voici une liste non exhaustive des emplois menacés.
Grand-Ouest.
Alcatel à Lannion (600 emplois) ;
SNT, fournisseur de services par téléphone, à Rennes (230) ;
Mitsubishi, téléphones portables, près de Rennes (644 emplois menacés) ;
Solectron-France, au Pont-de-Buis, dans le Finistère (197 emplois) ;
L’usine de chaussure Sacair.L. (156 licenciements) ;
le volailler Doux dans le Finistère (300 salariés menacés), les pêcheries de Fécamp (210 licenciés).
Catégorie : Social
Un commandant de bord d'Air Lib licencié
Le 13 août dernier, Le Journal de l’îlee révélait un incident technique majeur survenu au décollage de Gillot sur un Airbus A. 340 d’Air Lib le 3 mai dernier. Un des réacteurs avait avalé des oiseaux Pendant cinq jours le quadriréacteur a effectué des rotations sans qu’aucune vérification technique ne soit opérée. Pour avoir refusé de décoller dans ces conditions à bord de cet appareil, un commandant de bord d’Air Lib vient d’être licencié.
Grève des bus : le tribunal va trancher
Alors que les conducteurs de bus de la CGEA-Connex de Nemours entrent dans leur 10 e jour de grève aujourd’hui, les 6 000 usagers concernés vont enfin pouvoir être fixés sur ce conflit. Cet après-midi, le tribunal de Fontainebleau doit en effet se prononcer sur le référé déposé par la direction du dépôt pour entrave au droit du travail. Les grévistes, loin de craindre cette convocation, se déclarent impatients : « Nous avons tout fait pour provoquer cette plainte afin que la direction explique à la justice ses manquements au règlement », se targue Faustino Rocques, délégué syndical de la CFDT.
Gecina : les dirigeants vont s'exprimer sur le dossier Simco
Une réunion doit être organisée ce mardi entre le Comité d’Entreprise et les dirigeants de Gecina. L’OPA de Gecina sur Simco pourrait en effet être contrarié par un recours déposé par Simco auprès du CMF. Le comité d’entreprise en qualité d’actionnaire de Simco veut ici éviter les cessions d’actifs qu’envisagerait Gecina dans le cadre de ce rachat.
Capelle reprend le travail dans une ambiance pesante
Yeux rougis, têtes baissées, ou gestes de bravade pour feindre la satisfaction, l’émotion était grande hier après-midi au sein des Ets Capelle. Ce n’est pas de gaieté de coeur que le secrétaire du comité d’entreprise a lu, un par un, devant tous ses collègues, la liste des 77 personnes touchées par le plan social. C’était la première fois que des noms étaient officiellement annoncés. Dans une ambiance pesante.
Infogrames va supprimer 280 emplois en France
L’éditeur de jeux vidéo lyonnais, Infogrames a annoncé aujourd’hui lors d’un comité d’entreprise extraordinaire, la suppression de 60 % de ses effectifs français, soit 280 emplois sur un total de 480. Ce plan de restructuration drastique prévoit notamment « l’arrêt total de Lyon House, le studio interne de développement, la réduction radicale du département publishing, la réorganisation d’Infogrames France en ligne avec la concurrence, la réduction massive des services supports, ainsi que l’arrêt de toutes les activités périphériques non stratégiques » , a indiqué le leader européen des jeux vidéos. Le français envisage par ailleurs des réductions d’emplois supplémentaires en Europe, notamment en Grande Bretagne.
source: www.lexpansion.com
Hewlett-Packard supprime 1.206 postes en France
Le constructeur informatique a annoncé ce lundi que plus d’un millier de postes seraient supprimés en France. La direction a invoqué un marché « particulièrement difficile et incertain ».
Newell va supprimer 25 emplois à Ablis
«NON à la fermeture de Newell, non au transfert à Barcelone, en Espagne, non au licenciement sur le site d’Ablis. » La large banderole a été accrochée sur un mur de l’usine, en bordure de la Nationale 10 à la hauteur d’Ablis. Le groupe américain Newell, leader mondial dans la fabrication des stores vénitiens, à bandes verticales ou à enrouleur, a racheté cet atelier il y a deux ans. Sa fermeture est programmée pour la fin de l’année, avec 25 licenciements à la clé. Le plan social prévoit également 46 autres suppressions d’emploi à Tremblay-les-Villages (Eure-et-Loir) et dans le sud de la France
La vente de la clinique Montréal effective avant la fin de l'année
Le groupe franco-américain Médi Partenaires prendra bien, d’ici la fin de l’année 2002, les rênes de la clini que Montréal de Carcassonne. Un protocole a été signé en ce sens, mardi 17 septembre, entre cette société et les actionnaires de l’établissement carcassonnais, a confirmé hier Frédéric Dubois, président de Médi-Partenaires. « Cet accord prévoit la transmission de la clinique, pour laquelle il reste encore quelques démarches à finaliser », a expliqué M. Dubois à L’Indépendant. Selon nos informations, un audit de l’établissement carcassonnais est en cours, dont les résultats devraient être rendus d’ici quelques semaines.
Volailles de Keranna. Guiscriff Scaër et Gourin, villes mortes
À l’approche de la mise en place du plan de licenciements, les représentants du personnel de l’usine des Volailles de Keranna, à Guiscriff (56), multiplient les interventions. Ils organisent une manifestation aujourd’hui. Dans le même temps, Guiscriff, Gourin (56) et Scaër seront « villes mortes ».
Les salariés attendent leur licenciemen
LES SALARIÉS de la maison de retraite du Montgardé à Aubergenville n’attendent plus qu’une chose : la liquidation judiciaire de l’association gestionnaire, l’Agepah (Association d’études et de gestion d’établissement pour personnes âgées et handicapés). Elle pourrait être prononcée aujourd’hui. Le tribunal de grande instance de Meaux (Seine-et-Marne), où se trouve le siège de l’Agepah, doit en effet se pencher sur ce dossier.
Surveillants et aides-éducateurs massivement grévistes dans le second degré
Les étudiants-surveillants et les aides-éducateurs des collèges et des lycées ont massivement répondu à l’appel à la grève du SNES.
Ils entendent ainsi obtenir l’abandon des 5600 suppressions de postes prévues par le gouvernement et l’ouverture de négociations sur l’amélioration du statut des maîtres d’internat et des surveillants d’externat et sur l’avenir des aides-éducateurs.
Ils dénoncent une politique qui fait payer aux jeunes les réductions d’emplois dans la fonction publique et qui va priver des milliers d’étudiants modestes des moyens de poursuivre leurs études au moment même où la France connaît une pénurie de diplômés.
Ils entendent faire respecter des statuts nationaux et des emplois stables à statut public qui seuls peuvent garantir aux établissements scolaires une stabilité et une qualité d’encadrement des élèves.
Ils poursuivront leur action si le gouvernement persiste dans sa volonté de supprimer les emplois de MI/SE et d’aides-éducateurs et de décentraliser ces fonctions.