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Le vendredi 5 septembre, jour de l’annonce de la fermeture de l’usine Comilog, restera sans doute une journée noire pour le Boulonnais. La cessation d’activité de l’une des dernières unités de production de ferro-manganèse au monde, va entraîner une série de répercussions sur le littoral, telle une onde de choc.
Le journal « la voix du Nord » a publié mercredi un dossier spécial concernant ce désastre social.
Suivez ce lien pour le consulter.
Les manifestations de rentrée des enseignants organisées à travers la France n’ont pas connu mercredi le succès escompté par les syndicats.
Ce mercredi était une journée test pour les profs. Il aura été décevant. Ainsi à Paris, ils étaient 4000 selon les organisateurs, la moitié selon la police à défiler dans les rues, à l’appel de l’intersyndicale qui avait mené le mouvement de grève de mai-juin, pour protester contre la décentralisation, la réforme des retraites et demander la défense des services publics.
L’article complet sur TF1.fr
Le groupe Eramet va annoncer vendredi en comité d’entreprise la fermeture de son usine de ferro-manganèse, Comilog. En plus des salariés, c’est toute l’activité du port qui s’en ressentira.
Le Tribunal de Commerce de Paris a écarté pour l’instant l’hypothèse d’une liquidation de la chaîne de magasins. Ce redressement s’accompagne d’une période d’observation de 4 mois.
Les 1.200 salariés français du groupe Tati vont pouvoir pousser un soupir de soulagement. Du moins pour l’instant. Le Tribunal de Commerce de Paris a en effet décidé aujourd’hui d’écarter une procédure de liquidation judiciaire et de placer la société qui s’est déclarée en cessation de paiement vendredi dernier en redressement judiciaire. Cette décision devrait effacer – au moins provisoirement – les craintes de la Fédération du textile CFTC
Malgré une réunion prévue cet après-midi au Medef quelques heures avant l’ouverture théorique du festival, la grève a été votée lundi soir pour une durée de 24 heures.
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Après la signature, par des syndicats minoritaires, d’un accord réformant leur système d’indemnisation du chômage, techniciens et artistes du spectacle durcissent leur mouvement. Montpellier Danse et les premières représentations d’Aix-en-Provence sont annulés, les autres festivals menacés.
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Pour Force Ouvrière, un artiste est par définition, une personne qui souhaite vivre de son art et qui demande à travailler toujours davantage. Il est regrettable que certains ne voient dans les intermittents du spectacle qu’une «bande de profiteurs» dont il faut domestiquer le comportement.
En ce sens, si l’on constate des dérives, leur origine est à attribuer au patronat du spectacle et encore plus dans le domaine audio-visuel. Les abus d’usage de contrats précaires y sont nombreux et manifestes.
Dans un communiqué qui nous arrivé hier après midi, Le CE du site de DAVEZIEUX (ARDECHE) de VOITH FABRICS France nous informe de sa situation.
En avril dernier, la direction a annoncé qu’elle souhaitait fermer le site avec 144 licensiement sur les 168 salariés.
Vous trouverez plus bas le communiqué intégral, mais vous pouvez également visiter le site qui présente toute cette affaire,
profitez en pour leur adresse un petit message de soutien à ce.vfa@wanadoo.fr
Tout le monde ne mettra pas du beurre dans les épinards!
Les annonces faites sur l’augmentation du SMIC par le Ministre des Affaires Sociales à la Commission Nationale de la Négociation Collective du 23 juin 2003 méritent des explications car les salariés ne doivent pas se laisser abuser par l’éclat provoqué par ce miroir aux alouettes.
Au sortir de la Négociation du 20 décembre 2002, Force Ouvrière avait annoncé que 250 000 à 300 000 chômeurs seraient brutalement exclus de l’indemnisation au 1er janvier 2004.
Une note technique de l’UNEDIC vient aujourd’hui confirmer cette prévision indiquant que 613 900 chômeurs verraient, en 2004 et 2005, leurs droits réduits.
Lors du congrès de la Mutualité française, le chef de l’Etat a déclaré que la réforme de l’assurance-maladie doit être mise en place d’ici douze mois. Jacques Chirac ne veut pas bouleverser le système de santé mais le moderniser.
Cette réforme constitue un enjeu important pour les mutuelles qui financent déjà plus de 7 % des dépenses de santé. Les délégués du congrès doivent adopter d’ici à demain une position commune sur l’évolution de l’assurance-maladie.
Réunie à Paris le 10 juin 2003, jour où, à nouveau, sur tout le territoire, les salariés ont manifesté et cessé le travail, la Commission exécutive de la CGT-FORCE OUVRIÈRE dénonce le mépris gouvernemental vis-à-vis des millions de salariés qui, depuis des semaines, refusent de manière déterminée la contre-réforme du gouvernement et exigent une autre réforme, basée sur une répartition différente des richesses garantissant la solidarité et le respect des valeurs républicaines.