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Le comité d’entreprise de l’usine Lustucru-riz d’Arles (Bouches-du-Rhône), qui devait aborder le dispositif social lié au projet de fermeture du site (146 salariés) prévu par le groupe Panzani, a été suspendu lundi dans l’attente d’une décision de justice, a-t-on appris auprès de la CGT.
La multinationale Nestlé veut augmenter les profits qu’elle tire de la célèbre bouteille verte
ou la vendre. La CGT s’oppose à cette alternative
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LE DIALOGUE entre les salariés de Vallourec et leur direction semble devenir chaque jour plus difficile. Aujourd’hui doit se dérouler un nouveau comité central d’entreprise (CCE) dont le lieu est… tenu secret.
C’est l’avenir des 117 employés de l’usine Vallourec Précision Etirage de Laigneville, qui doit fermer le 30 septembre prochain, qui sera une fois de plus discuté lors de cette réunion entourée de mystère. « La direction refuse de nous indiquer le lieu du CCE », s’étonne Eric Bléry, délégué au comité d’entreprise.
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La mise à disposition d’une fontaine à eau est une quasi-obligation pour l’employeur. La fontaine directement reliée au réseau d’eau s’impose, car plus économique et plus simple d’utilisation.
L’Assemblée nationale a adopté le mardi 20 juillet le projet de loi sur la réforme de l’assurance maladie. Le ministre de la Santé, Philippe Douste-Blazy, a rappelé sur France Inter mercredi 21 juillet le caractère urgent de la réforme de l’assurance-maladie pour « nos enfants et petits enfants » ajoutant « si cette réforme marche, alors il n’y aura pas de déficit ».
Devenir délégué du personnel ou se syndiquer, ça marque ! Demandez autour de vous à des collègues qui un jour ont sauté le pas. S’impliquer dans l’entreprise, ce n’est pas seulement occuper une fonction. C’est se former à la négociation, c’est améliorer ses capacités de persuasion, c’est apprendre à communiquer… Bref, c’est découvrir des choses sur l’entreprise comme sur soi. Une autre façon de se former et de s’épanouir, sur le terrain…
Face à la menace des délocalisations, les salariés n’ont guère d’autre choix que d’accepter de travailler plus et souvent sans augmentation de salaire. C’est le cas en Allemagne et le phénomène fait son apparition en France. Mais les deux pays n’ont pas les mêmes armes.
TRAVAIL, responsabilité, mérite : ce sont les trois mots que Jacques Chirac a choisis pour caractériser la politique qu’il entend conduire dans les trois ans à venir. Car, dit-il, le retour de la croissance ne suffira pas à réduire la fracture sociale qui s’est installée entre « les classes travailleuses » et les autres.
Quel est l’avenir du droit à la formation des salariés français suite aux dernières modifications législatives apportées au Code du Travail ? Cette question commence à être débattue et exposée dans les divers médias.
Le patron du Medef ne veut pas discuter avec les syndicats pour moderniser les règles du travail et mettre fin aux 35 heures. Il appelle le gouvernement à « prendre ses responsabilités » et à légiférer.
Avec 646 collectifs adhérents, l’Ircos (*) a fait un bilan de son activité 2004 partagé entre satisfaction et inquiétude. Ce qui n’empêche pas l’association de nourrir des projets de développement, notamment dans l’idée d’accueillir les salariés des entreprises qui n’ont pas de comités d’entreprise.
Jugé trop politique, incompatible avec un développement de carrière, le syndicalisme effraie le management en France, où seuls 9 % des cadres sont syndiqués. Dans les pays scandinaves, la part atteint les 80 %. Cadre et syndiqué, l’union impossible ?