L'assistance informatique, nouveau moteur de la création d'emplois

Jean-Louis Borloo a présenté mercredi 25 mai en Conseil des ministres son projet de loi sur le développement des services à la personne. Une aubaine pour les prestataires de services d’assistance informatique qui, à condition d’être agréés par l’Etat, pourront bénéficier, comme les employeurs particuliers, d’exonérations plus attractives.
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Syndicats et patronat cherchent un accord sur le télétravail

C’est un consensus syndical qui a suivi la publication, en décembre 2004, de la recommandation du Forum des droits sur l’Internet (FDI) sur le télétravail. CFDT, CFTC, FO, CGC et CGT sont bien d’accord : il faut clarifier la situation en la matière. Pour cela, au début du mois de mai, des négociations se sont ouvertes avec le Medef dans le but d’aboutir à un accord interprofessionnel sur le télétravail le 19 juillet prochain.

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Les établissements de crédit accusés de favoriser le surendettement

Le nombre des dossiers déposés en commission de surendettement a augmenté de 13,7 % en 2004. Les organismes de crédit et les établissements bancaires sont accusés d’avoir favorisé le phénomène. Le 12 avril, la Confédération syndicale des familles (CSF) a lancé une mise en garde contre les crédits renouvelables (ou « crédits revolving » ), octroyés, selon elle, à des taux prohibitifs, sans que la solvabilité des emprunteurs soit vérifiée. Le président d’Emmaüs France, Martin Hirsch, déplore, pour sa part, « l’explosion » de ces prêts « pousse-au-crime » . « Tous les dossiers de surendettement sont envahis par les crédits renouvelables » , renchérit Gérard Renassia, président de SOS-Surendettement.
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"Lock out" à la SNCM et poursuite de la grève des marins CGT

La Société nationale Corse-Méditerranée (SNCM) a de facto été mise en « lock out » après neuf jours de grève dure des marins CGT qui ont décidé mercredi soir de poursuivre leur mouvement, malgré une proposition de rencontre jeudi à Paris au ministère des transports.

Mercredi matin, faisant valoir que l’entreprise était « totalement désorganisée » par la grève et que « la sécurité de ses clients ou de ses personnels » ne pouvait être garantie, la direction de la SNCM avait annoncé avoir fermé son siège marseillais et « mis en congé » tous les salariés non-grévistes.

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