Hewlett-Packard : les négociations reprennent

La direction du groupe américain veut remettre en question l’accord sur les 35 heures pour réduire les coupes claires. Les syndicats s’y opposent.
MALGRÉ les prises de position très fermes du gouvernement et des élus politiques de l’Isère, les négociations piétinent entre Hewlett-Packard et les syndicats. Chacun campe sur ses positions alors que les négociations sur le plan de 1 240 suppressions d’emplois dans l’Hexagone doivent reprendre demain après un mois et demi d’interruption au siège du groupe à Issy-les-Moulineaux (Hauts-de-Seine). Durement critiquée, la direction de la filiale française est décidée à remettre en question l’accord sur les 35 heures signé en 1999 pour réduire les coupes claires.
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Entreprises cherchent salariés…désespérément

Alors que tant de Français cherchent un emploi, des milliers d’employeurs peinent à recruter. Les raisons du paradoxe sont multiples, les responsabilités, partagées. Tentative d’explication.
On demande cuisiniers, aides-soignantes, maçons, soudeurs, chauffeurs, serveurs par milliers ! Mais comment faisons-nous pour battre tous les records de chômage alors que tant de métiers manquent de bras ? Est-ce une manifestation de plus de l’exception française ? Et d’abord, combien sont-ils, ces fameux emplois ?
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Une "manifestation-happening" : début du mois de mobilisation des stagiaires

Une centaine de stagiaires, tout de noir vêtus et masqués, ont défilé, mardi 1er novembre, à Paris pour alerter l’opinion publique sur les « abus » des entreprises. La manifestation, à l’appel du mouvement Génération précaire, partie de l’Ecole militaire, s’est rendue devant le ministère de la cohésion cociale, dont l’accès était interdit par les forces de l’ordre.

La manifestation a pris des allures de cortège d’Halloween pour les touristes égarés du Champ de Mars. Mais le déguisement avait un autre motif. « L’anonymat est obligatoire pour nous qui sommes sans droits, sans statut, sans salaire, et jetables comme des Kleenex », explique Guillaume, 32 ans, ayant accumulé des stages « à n’en plus finir, dans la presse notamment ».
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"France-Soir" en redressement pour six mois

Le tribunal de commerce de Bobigny en Seine-Saint-Denis a décidé de placer la société qui édite le quotidien « France-Soir » en redressement judiciaire pendant une période de six mois, a-t-on appris de la direction.
La situation financière de la société Presse Alliance, qui compte environ 120 salariés, avait poussé la direction de l’entreprise à se déclarer jeudi en cessation de paiement.
Les anciens mandataires ad hoc Gilles Baronnie et Frédéric Brunet, qui avaient été désignés par le tribunal de commerce, ont été confirmés au poste d’administrateurs judiciaires.
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Fonction publique : les syndicats rejettent les propositions de De Villepin

Les organisations syndicales ont réagi négativement aux annonces sur la fonction publique faites par le premier ministre, Dominique de Villepin, lors de sa conférence de presse, jeudi 27 octobre. Le chef du gouvernement s’est prononcé pour un déplafonnement des heures supplémentaires et pour l’élargissement du principe du rachat par l’employeur des jours de réduction du temps de travail (RTT) pour les fonctionnaires. Il a également souhaité accélérer la réduction des effectifs par le non-remplacement des départs à la retraite.
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Avendis Capital désigné comme repreneur du chausseur de luxe Charles Jourdan

Le tribunal de commerce de Romans-sur-Isère a désigné, vendredi 28 octobre, le groupe suisse d’investissement Avendis Capital comme repreneur du chausseur de luxe Charles Jourdan. Le grand nom de la chaussure de luxe était en redressement judiciaire depuis le 22 août.

Avendis Capital prévoit de conserver 150 salariés à Romans et une soixantaine dans différents sites en France et à l’étranger, sur les 380 emplois concernés. Le groupe suisse était le dernier candidat en lice, après le retrait mercredi soir de l’offre du groupe de prêt-à-porter Guy Laroche. Plusieurs centaines de salariés, qui redoutaient une liquidation judiciaire, ont assisté en silence à l’annonce de la décision. Ils préféraient la proposition de Guy Laroche, qui prévoyait de garder 245 emplois à Romans.
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La brasserie Schutzenberger en cessation de paiement

Le sort de la brasserie alsacienne Schutzenberger sera scellé lundi par la chambre commerciale du tribunal de grande instance de Strasbourg.
L’entreprise s’est déclarée en cessation de paiement et réclame son placement en redressement judiciaire, a dit vendredi sa direction.
Implantée à Schiltigheim (Bas-Rhin), au nord de Strasbourg, la brasserie Schutzenberger emploie 70 personnes. Elle est, avec la brasserie Météor de Hochfelden (Bas-Rhin), l’une des deux dernières grandes brasseries indépendantes d’Alsace.
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La grève à la RTM

Au 23e jour de grève des métros et bus marseillais, les syndicat dénoncent les « gesticulations » de Dominique Perben.
Au 23e jour de grève à la Régie des transports de Marseille, la circulation des métros et des bus marseillais était toujours très fortement perturbée jeudi 27 octobre par la grève des agents qui craignent une privatisation, alors que la mairie n’exclut pas de réquisitionner des autobus.
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Travail illégal : patronat et syndicats BTP signent une charte de bonne conduite

Pour lutter contre le travail illégal dans le bâtiment, une charte de bonne conduite a été adoptée, mardi 25 octobre, conjointement par sept organisations professionnelles du secteur du bâtiment et travaux publics (BTP) et cinq syndicats de salariés de la branche (CGT, CFDT, FO, CGC, CFTC), en présence de la délégation interministérielle à la lutte contre le travail illégal (Dilti) et de Gérard Larcher, ministre délégué à l’emploi.
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Guy Laroche renonce à reprendre Charles Jourdan

La maison de prêt-à-porter Guy Laroche, l’un des deux éventuels repreneurs du chausseur de luxe Charles Jourdan, a finalement retiré son offre de reprise, apprend-on auprès d’une élue du comité d’entreprise.

Philippe Cardon, qui menait le projet de reprise de Guy Laroche, rejoint finalement l’offre concurrente du groupe suisse d’investissement Avendis Capital. Il aurait été « lâché » la nuit dernière par le groupe chinois YGM, propriétaire de la maison Laroche, a-t-on appris de même source.
La suite de l’article sur reuters.fr

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