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Un retour aux 40 heures. Voilà ce qu’a proposé, mercredi 14 décembre, le président de Bosch France, Guy Maugis, à ses 10 400 salariés pour « maintenir l’emploi industriel ». La direction du groupe équipementier automobile a toutefois préciser qu’aucun « calendrier précis de négociation » n’avait été mis en place. Pour le PDG, « la réduction du coût horaire est l’un des axes pour maintenir l’emploi industriel en France ».
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Elles devraient concerner 940 personnes contre les 1.240 initialement prévues. La direction de Hewlett-Packard a baissé le nombre de départs contre une renégociation de l’accord sur les 35 heures avec les syndicats.
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La direction de Hewlett-Packard France a annoncé la suppression de 886 postes pour les deux sociétés du groupe en France (HPF et HP-CCF), au lieu des 1 240 initialement prévues par le groupe informatique américain, a-t-on appris mercredi de source syndicale.
Selon la CFTC, « ce chiffre représente 18,1 % de l’effectif du groupe HP France, alors que celui initialement prévu de 1 240 suppressions de poste représentait 25,4 % de l’effectif » total. De son côté, Michel Soumeta (CGT) confirmé le chiffre total de « 886 suppressions de postes, réparties ainsi : 395 à HPF et 491 à HP-CCF ». Toutefois, « 54 suppressions de postes sont également prévues dans les filiales Triaton et CFS du groupe, ce qui porte le total à 940 suppressions de postes », a -t-il ajouté.
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Du grain à moudre : voilà ce que Dominique de Villepin pense donner aux partenaires sociaux, lundi 12 décembre. Le premier ministre a choisi d’abord de mettre en scène sa bonne volonté et son intention de « faire avancer le dialogue social ». Symboliquement, c’est donc lui qui ira à la rencontre des partenaires sociaux, en s’invitant, vers 17h30, à la fin de la réunion de la commission nationale de la négociation collective, au ministère du travail, Rue de Grenelle, haut lieu des accords sociaux historiques. Il prend donc aussi le risque de les décevoir.
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Les élus du Comité d’entreprise du quotidien occupent les bureaux de la direction et du personnel du journal.
Le budget 2006 du quotidien Libération a été voté à l’unanimité mercredi dernier par les actionnaires de la SAIP – SA Investissements Presse – société éditrice du quotidien, qui prévoit une perte d’exploitation de 1,4 million d’euros. Le conseil d’administration a approuvé ce plan budgétaire qui réduit la perte financière – avant frais financiers – de 7 millions d’euros en 2005 à 1,4 million d’euros en 2006. Les actionnaires se sont entendus sur les projets de développement, concernant notamment les investissements sur internet.
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Alors que Dominique de Villepin doit soumettre lundi aux partenaires sociaux ses propositions en matière d’emploi et de pouvoir d’achat, le président de l’UMP Nicolas Sarkozy préconise à nouveau la création d’un « contrat de travail unique à durée indéterminée » et fustige « l’échec du modèle social français ».
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Le groupe Ouest-France a signé, mardi 19 avril, avec la Socpresse (groupe Dassault), l’accord sur le rachat des trois quotidiens du pôle Ouest de la Socpresse (Le Monde du 24 février). Les comités d’entreprise des trois journaux Presse Océan à Nantes, Le Courrier de l’Ouest à Angers et Le Maine libre au Mans et de leur régie publicitaire commune, Interrégies, ont donné un avis favorable le 29 mars. Selon les syndicats, le montant de l’opération serait de près de 60 millions d’euros.
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EDF prévoit 5.000 suppressions de postes dans les deux ans à venir par le non remplacement de départs à la retraite, rapporte « Les Echos » jeudi. Seul un départ sur quatre devrait être remplacé ces deux prochaines années.
Selon le quotidien, EDF entend alléger de 1,5 milliard d’euros ses charges de personnel en cumulé sur la période 2005-2007, dont 1 milliard d’euros sur le « périmètre France ». Le groupe bénéficiera de l’effet « pyramide des âges ». Selon les chiffres communiqués aux syndicats et repris par « Les Echos », 3.054 départs « naturels » sont programmés en 2006, et 3.630 autres en 2007. Tous ne seront pas remplacés. A ce stade l’entreprise prévoit 700 embauches l’an prochain et 900 l’année suivante.
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À l’occasion des 60 ans de la création des comités d’entreprise, la CFDT a organisé le 30 novembre un colloque qui a réuni plus d’une centaine de militants à la Confédération. L’occasion de revenir sur les prérogatives de cette instance et d’en définir les perspectives d’avenir. Le tour des débats en trois chapitres…
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La première réunion de négociations dans la fonction publique a tourné court, mardi, après deux heures d’un dialogue de sourd entre le ministre, Christian Jacob, et les fédérations de fonctionnaires : ces dernières ont quitté la réunion faute de proposition chiffrée sur les salaires. Malgré l’insistance des syndicats, M. Jacob s’est en effet refusé à formuler avant le 5 janvier la moindre proposition chiffrée en ce qui concerne l’indice du salaire de base, ce qui a provoqué la colère des syndicats.
Syndicats et ministère de la Fonction publique entament aujourd’hui, à Paris, des négociations qui portent principalement sur les salaires.
Christian Jacob, le ministre de la Fonction publique, devrait avancer une proposition salariale chiffrée et différentes mesures pour maintenir le pouvoir d’achat des fonctionnaires lors de négociations avec les syndicats, aujourd’hui, à Paris. Les discussions vont s’organiser en trois volets: salarial, social et statutaire.
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Le personnel de Libération a voté lundi une résolution demandant à la direction de « prendre l’engagement qu’il n’y aura pas de licenciement sec » dans le cadre de son plan de suppressions d’emplois. Faute de quoi, la grève suspendue le 25 novembre pourrait reprendre.
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