Il arrive souvent qu’un salarié se voie intimer l’ordre, par son employeur, de rentrer chez lui et qu’il se plie à cet ordre, considérant avoir été licencié verbalement. Mais les choses se compliquent lorsqu’on se présente ensuite devant le Conseil de Prud’hommes !
Certains s’en tiennent à la règle selon laquelle le salarié doit prouver ce qu’il avance et notamment le fait d’avoir été congédié par son employeur. Or, cette preuve est difficile voire impossible à rapporter.
Pourtant, le salarié ne devrait pas être ainsi débouté.