Catégorie : Culture

« Ce guide est idéal pour les personnes voulant organiser des visites culturelles à coût réduit en fonction de l’itinéraire prévu » explique Gérard Corret, gérant de la société « carte performance » qui édite tous les deux ans le « passeport Loisiroscope ». Pour l’année 2003-2004, près de 176 bons, dans le concept « une entrée gratuite pour une payante », sont répertoriés dans ce guide pour diverses sorties couvrant la Bourgogne, la Franche-Comté ainsi que les environs. Musées, châteaux, sites exceptionnels, parc d’attractions, loisirs sportifs, l’embarras du choix est donné aux amateurs de ballades qu’ils soient plutôt détente ou amoureux du patrimoine, originaire d’une région ou d’une autre.

Le Printemps est pour tous l’occasion de remettre le nez dehors et de découvrir des groupes venus des quatre coins du monde, stars d’aujourd’hui ou de demain.

Avec le printemps bourgeonnent les arbres et refleurissent les plantes. Mais à Bourges, ce sont nos oreilles qui revivent avec l’annonce chaque année d’un printemps musical d’exception. Pour 2003, 40 spectacles sont programmés soit plus de 100 artistes qui se succèderont dans les neuf salles du festival.

Gala de Soutien au profit des associations Marocaines d’aide à l’enfance.

Depuis plusieurs années, l’Association El Noujoum, créée par le danseur oriental et chorégraphe MAYODI, organise des spectacles de musique et de danse pour soutenir des projets humanitaires d’initiative locale.

SILC (Séjours Internationaux Linguistiques et Culturels) offre aux étudiants dès 18 ans et aux adultes qui veulent progresser en langues vivantes de nombreuses possibilités de formation : des cours de langue, des stages et des jobs, des séjours en immersion et des raids.

Pour les découvrir, la brochure 2003 est maintenant disponible !

Ouvert à tous les artistes désirant exposer des oeuvres, peintures, sculptures, gravures, aquarelles, gouaches, dessins crayons, fusains, encres de chine et pastels, le 18e Salon d’été Couleurs et Méditerranée se déroule jusqu’au 17 août au Palais des congrès.
De nombreuses distinctions récompenseront les lauréats désignés par un jury: grand prix Salon, 750 en espèces; grand prix de la ville de Gruissan, 450 en espèces; prix de la capitainerie, un mois d’exposition; prix de l’office du tourisme, quinze jours d’exposition.
De nombreux autres prix seront décernés (médailles, diplômes, etc.).
Le grand prix Couleurs et Méditerranée fera l’affiche du Salon suivant.
La proclamation des résultats et la remise des prix auront lieu lors du vernissage le samedi 3 août, à 19 heures, au Palais des congrès, suivie d’un apéritif et d’un repas.
Pour tout renseignement s’adresser à la présidente de l’association Annie Aldebert, 5, rampe du Pech des Moulins Tél. 04.68.49.28.50.

source : www.ladepeche.com

29 juin 11 novembre 2002
La Florence des Médicis abrita une dynastie de sculpteurs, les Della Robbia, qui doit son renom à la terre cuite émaillée, un procédé qu’elle mit au point et dont elle garda longtemps le monopole. De nombreuses églises et monuments de Toscane ou d’Ombrie en conservent de très beaux exemples. Au début du XIXe siècle, les collectionneurs furent séduits par les sculptures « robbiesques » : éclat des coloris, douceur du modelé, madones, anges ou saints, empreints de la spiritualité très humanisée des Franciscains. En 1862, l’acquisition, à Rome, par Napoléon III, d’une partie de la collection du marquis Campana fit entrer un grand nombre de ces pièces au Louvre avant qu’elles ne soient partiellement dispersées dans un certain nombre de musées français. Parmi les plus belles et les plus significatives, cinquante sont réunies dans l’exposition : de la statuette à la sculpture monumentale en passant par l’élément architectural, l’objet liturgique ou le retable.

La période Corse de Fernand Léger est très courte et lui a été imposée pour raison de santé. Il y séjourne à deux reprises : l’hiver 1906-1907 et l’hiver 1907-1908. Il est accueilli par son ami d’enfance, Henri Viel, originaire comme lui d’Argentan. Vers 1895, Henri Viel, André Mare et Fernand Léger avaient crée le groupe des peintres d’Argentan.
Dans un premier temps, Léger s’installe chez Henri Viel qui exerce comme fonctionnaire de l’enregistrement à Belgodère, puis il part pour l’Ile Rousse. Lors de son second séjour, Fernand Léger aménage son atelier dans le château Piccioni, devenu entre-temps l’hôtel Napoléon.