Le comité d’entreprise (CE) de France Soir a fait appel, vendredi 21 avril, de la décision du tribunal de commerce de Lille, qui avait désigné l’homme d’affaires Jean-Pierre Brunois et le journaliste Olivier Rey comme repreneurs du quotidien en difficulté.
La secrétaire du CE, Florence Grosjean, a indiqué qu' »il faut que ce soit rejugé pour que MM. Brunois et Rey ne soient pas les repreneurs ». « Nous faisons appel de la décision, estimant, comme on l’a toujours dit, que le nombre de personnes gardées est totalement insatisfaisant et que le projet éditorial ne permet pas d’assurer la pérennité de France Soir », a-t-elle poursuivi. « On voudrait rouvrir les débats pour permettre à d’autres personnes d’être repreneurs », a encore indiqué Mme Grosjean.
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