La CNIL délivre sa lecture de la jurisprudence du 17 mai 2005
Le 17 mai 2005, la Cour de cassation a précisé que « sauf risque ou événement particulier, l’employeur ne peut ouvrir les fichiers identifiés par le salarié comme personnels contenus sur le disque dur de l’ordinateur mis à sa disposition qu’en présence de ce dernier ou celui-ci dûment appelé » (cass. soc. 17 mai 2005, n° 1089 FSPBRI). La CNIL vient de diffuser son analyse de cet arrêt sur son site internet.