Auteur/autrice : comitedentreprise.com

L’équipementier automobile, spécialisé dans la conception, le développement et la fabrication de pièces en plastique pour les grands constructeurs, va regrouper toutes ses activités — recherche et développement, production et logistique, qui font actuellement travailler 430 personnes — sur un même site à Laval. Il affirme ainsi parvenir à réduire ses coûts au niveau de ceux qu’il aurait eus s’il avait transféré sa seule production en Europe de l’Est.
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La direction du centre de production Peugeot-PSA-Citroën de Sochaux (Doubs) a annoncé mercredi au cours d’un comité d’entreprise ordinaire la suppression fin février 2006 d’une équipe sur cinq, en raison d’une baisse actuelle de charges, selon le secrétaire général de la CFDT-Peugeot Jean-Paul Even.
Sont concernées 600 personnes en fin de CDD ou intérimaires dont le contrat s’achève en janvier ou février prochain, a précisé le syndicaliste. « La direction espère une reprise d’activité fin 2006, et la remise en place de la cinquième équipe voire la constitution d’une sixième », a-t-il ajouté.
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Un plan social portant sur 45 personnes aurait été annoncé au comité d’entreprise d’Applied Micro Circuits Corporation France qui compte 65 salariés à Sophia et 45 à Corbeil Essonne, sur des activités « switch » et « Power PC » rachetées à IBM France en 2003 et 2004.
De nouveaux nuages sur l’emploi dans la technopole, avec cette annonce d’un plan social dans la société AMCC (Applied Micro Circuits Corporation). Cette société informatique américaine avait racheté en 2003 à IBM la ligne de produits PRS (Packet routine Switching) puis celle des « Power PC » l’année suivante en 2004. Du même coup, une centaine de salariés français d’IBM La Gaude avaient été transférés en deux vagues chez AMCC. Une opération qui avait été vivement contestée par les syndicats.
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Le Conseil d’Etat suspend l’exécution de l’ordonnance du 2 août 2005 excluant les jeunes de moins de 26 ans des effectifs des entreprises jusqu’à ce que la justice européenne se prononce.
Le Conseil d’Etat a décidé, le 23 octobre 2005, sur une requête de la CGT-FO, de suspendre l’application de l’ordonnance du 2 août 2005 qui autorisait les entreprises à ne pas compter dans leurs effectifs les jeunes salariés de moins de 26 ans. Cette décision en « référé-suspension » est justifiée par « un doute sérieux sur la légalité de l’ordonnance contestée ».La suite de l’article sur lentreprise.com