Auteur/autrice : comitedentreprise.com

Le numéro deux du papier mondial, le groupe finlandais Stora Enso, confirme la fermeture de son usine de Corbehem (Pas-de-Calais) entraînant le licenciement de 450 salariés du site.
Bernd Rettig, vice-président de Stora Enso, a rencontré les salariés et des élus dans l’usine jeudi après-midi pour officialiser une annonce déjà évoquée lors d’un comité d’entreprise en novembre.
« Nous ne sommes pas capables de faire du profit dans cette usine qui a perdu beaucoup d’argent », a expliqué Bernd Rettig, provoquant la colère des élus et représentants du personnel.
La suite de l’article sur reuters.fr

Un mois et demi après la grève de quatre jours qui avait empêché la parution du journal, les salariés de Libération sont entrés dans une nouvelle épreuve de force avec la direction. Réunis mercredi 11 janvier en assemblée générale, ils ont voté un arrêt de travail pour jeudi, qui pourrait entraîner une absence de Libération dans les kiosques vendredi. Toutefois, « si, d’ici jeudi midi, la direction annonce l’annulation du chapitre externalisation de son plan social, la grève sera annulée », indiquait mercredi soir François Wenz-Dumas, délégué syndical SNJ.
La suite de l’article sur lemonde.fr

Auchelaine, le premier fabricant de laine peignée en France et en Europe, prévoit la fermeture définitive de son usine d’Auchel, près de Béthune (Pas-de-Calais), qui emploie 124 salariés, a-t-on appris mardi de la CGT.
La suite de l’article sur nouvelobs.com

PRESSE Après la grève, place aux négociations. Les élus du comité d’entreprise du quotidien ont listé des économies possibles.
TROUVER d’autres alternatives que le plan social, favoriser les départs volontaires aux licenciements contraints, réduire les frais généraux. Les représentants du personnel de Libération présentent aujourd’hui en comité d’entreprise et, demain, en assemblée générale leurs contre-propositions. Un mois et demi après l’annonce par la direction de 52 suppressions de postes, dont 14 externalisations, les syndicats continuent leur contre-offensive mais sur un autre terrain que celui de la grève. Hier, ils présentaient un rapport d’experts de 120 pages, réalisé par le cabinet Syndex. Il dénonce «une réponse financière à court terme» et «les risques» du plan d’externalisations.
La suite de l’article sur lefigaro.fr

De crainte que le matériel ne soit enlevé à leur insu, les 64 salariés de Régie Linge Développement (RLD), se relaient la nuit depuis vendredi pour occuper leur entreprise située à Longeville-lès-Saint-Avold (Moselle), apprend-on auprès de la CGT.
Au cours d’un comité d’entreprise extraordinaire, vendredi, la direction a confirmé définitivement le transfert de la production du site mosellan à Colmar (Haut-Rhin).
Quarante-et-un salariés -en grande majorité des femmes- sur 64 sont concernés par cette mutation.
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