Belle démonstration de la démocratie à la française, cet après-midi, au sein de la commission des Affaires sociales de l’Assemblée nationale. Les organisations patronales représentatives y étaient invitées à venir s’exprimer sur la proposition de loi du député Nicolas Perruchot (Nouveau Centre) qui veut rendre plus transparent le financement des comités d’entreprise. Au final, c’est peut-être la CGPME qui a choisi la bonne stratégie : la politique de la chaise vide. Car sur 1h10 d’audition, Benoit Roger-Vasselin (Medef) et Jean Lardin (UPA), quant à eux bel et bien présents, n’ont pu s’exprimer que 15 petites minutes. Oui, 15 petites minutes.
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