Il estimait que la direction avait violé un accord en lançant un plan d’externalisation de centres d’appel sans concertation avec les élus.
Le tribunal de grande instance (TGI) de Paris a débouté, mardi 6 novembre, le Comité central d’entreprise (CCE) de SFR, qui reprochait à l’opérateur téléphonique de ne pas l’avoir informé et consulté dans le cadre du processus d’externalisation de trois centres d’appel. Il réclamait en conséquence, non pas la suspension de ce processus, mais 20.000 euros de dommages et intérêts.
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