Critiqué par le président du conseil de surveillance, il n’entend pas partir.
Ça y est, cette fois la bataille est ouverte. Hier tous les regards étaient braqués sur le PDG de Volkswagen, Bernd Pischetsrieder. Pas pour entendre la présentation des résultats annuels du groupe qui se sont avérés conformes aux prévisions, mais pour voir comment Pischetsrieder allait tenir le choc. En effet, cette semaine, Ferdinand Piëch, le patriarche relégué à la présidence du conseil de surveillance, a déclaré publiquement que la question de la prolongation de Pischetsrieder à la tête du groupe était «ouverte». Or son contrat doit théoriquement être renouvelé avant le 20 avril.
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