Venu des Etats-Unis, le «whistleblowing», qui consiste à dénoncer son collègue fraudeur via un numéro spécial, s’impose. Syndicats et salariés crient à la délation et multiplient les recours.
Dénoncer son collègue de travail qui commet un acte frauduleux ne passe décidément pas en France. Protestations et recours judiciaires se multiplient de la part de syndicats qui s’insurgent contre la mise en place par les directions de procédures de «whistleblowing», c’est-à-dire de systèmes qui permettent d’enregistrer les confidences de salariés à propos de fautes ou fraudes commises au sein de l’entreprise.
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