François Pinault, président d’honneur du groupe PPR, a annoncé hier qu’il renonçait à implanter à Boulogne-Billancourt son projet de fondation d’art contemporain. Le site des anciennes usines Renault voit non seulement lui échapper un investissement de 150 millions d’euros, mais aussi un projet moteur pour le développement de ce secteur de l’Ouest parisien. L’homme d’affaires, lassé des pesanteurs de l’administration française pour instruire son projet, se détourne de l’Hexagone au profit de Venise et du palais Grassi qu’il vient d’acquérir. Son projet est d’associer d’autres villes européennes.
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