En juin 2008, naissait une nouvelle forme de rupture entre employeurs et employés: la rupture conventionnelle. Sous ce nom sibyllin se cachait une réforme importante du contrat de travail que l’on peut comparer à l’apparition du divorce par consentement mutuel («à l’amiable») dans les rapports régissant les époux. Son but était de pacifier et de faciliter les procédures de départ de l’entreprise dès lors qu’il existait un accord entre les deux parties, en se passant notamment des services d’avocats et en sécurisant la chose pour l’employeur en rendant beaucoup plus difficile le recours ultérieur aux prud’hommes.
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