Critiqués pour son manque de lisibilité et ses coûts de gestion élevés, le « 1 % logement » va s’infliger une cure d’amaigrissement sévère. Ce dispositif, cogéré par les partenaires sociaux, a tissé un vaste réseau d’organismes qui encaissent à la fois une taxe payée par les entreprises et des remboursements de prêts accordés à des particuliers ou à des personnes morales.
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