Refuser de porter une jupe peut vous conduire au licenciement

Votre employeur peut être amené à vous imposer le port d’une tenue vestimentaire sur votre lieu de travail. Cette contrainte est justifiée soit par des raisons de sécurité (nécessité de porter des vêtements de protection…), soit par des exigences commerciales (vêtements spécifiques à l’entreprise…).
Il pourra donc, lorsque cela est justifié par la tâche à accomplir et proportionné au but recherché, apporter des restrictions à la liberté de se vêtir (article L. 1121-1 du Code du travail). Par exemple, un employeur a interdit à une salariée d’une agence immobilière de porter un survêtement alors qu’elle était en contact avec la clientèle de l’entreprise (arrêt de la Chambre sociale de la Cour de cassation du 6 novembre 2001, n° 99-43988).

Dès lors, quelle sanction l’employeur peut-il prendre à votre égard si vous refusez de vous soumettre à ces restrictions vestimentaires ?
La suite de l’article sur juritravail.com

Packard-Bell envisage 122 suppressions d'emplois en France

Le groupe a déjà supprimé 200 emplois dans son usine d’Angers lors de son rachat par Gateway, désormais propriété d’Acer.

Le constructeur informatique Packard-Bell envisage de supprimer 122 emplois en France, dans le cadre d’un projet de restructuration touchant essentiellement son usine d’Angers, apprend-on mardi 27 mai auprès des syndicats et de la direction.
Le projet, présenté la semaine dernière en comité d’entreprise, prévoit la suppression de 122 postes sur les 383 que compte Packard-Bell en France (319 à Angers, 64 au siège administratif à Puteaux).
La direction du géant de l’informatique a confirmé l’existence d’un projet de restructuration, mais a refusé d’en préciser la teneur et le calendrier.
La suite de l’article sur challenges.fr

Plan social en voie de finalisation chez ArcelorMittal Gandrange

La direction d’ArcelorMittal a accepté d’accorder une indemnité de mobilité équivalente à deux mois de salaire brut pour les salariés de Gandrange (Moselle) qui seront mutés sur un autre site dans le cadre du plan social concernant la suppression de 575 postes sur 1.100, apprend-on de source syndicale.

Il s’agissait du principal point restant en suspens avant la dernière réunion du comité d’entreprise, vendredi, sur le plan de sauvegarde de l’emploi.
La suite de l’article sur lexpress.fr

JORF n°0123 du 28 mai 2008

JOURNAL OFFICIEL « LOIS ET DECRETS »

LOIS

1 LOI n° 2008-496 du 27 mai 2008 portant diverses dispositions d’adaptation au droit communautaire dans le domaine de la lutte contre les discriminations (1)
http://www.legifrance.gouv.fr/affichTexte.do?cidTexte=JORFTEXT000018872638&dateTexte=

PRESIDENCE DE LA REPUBLIQUE

2 Arrêté du 26 mai 2008 portant nomination à la présidence de la République
http://www.legifrance.gouv.fr/affichTexte.do?cidTexte=JORFTEXT000018872674&dateTexte=

ORDRE NATIONAL DE LA LEGION D’HONNEUR

3 Décret du 26 mai 2008 portant nomination d’un membre du conseil de l’ordre national de la Légion d’honneur – M. Gall (Hugues)
http://www.legifrance.gouv.fr/affichTexte.do?cidTexte=JORFTEXT000018872678&dateTexte=

JORF n°0122 du 27 mai 2008

JOURNAL OFFICIEL « LOIS ET DECRETS »

LOIS

1 LOI n° 2008-490 du 26 mai 2008 ratifiant l’ordonnance n° 2007-1490 du 18 octobre 2007 relative aux marchés d’instruments financiers et portant actualisation et adaptation du droit économique et financier applicable à Mayotte, en Nouvelle-Calédonie, en Polynésie française et dans les îles Wallis et Futuna (1)
http://www.legifrance.gouv.fr/affichTexte.do?cidTexte=JORFTEXT000018871595&dateTexte=

2 LOI n° 2008-491 du 26 mai 2008 relative aux conditions de commercialisation et d’utilisation de certains engins motorisés (1)
http://www.legifrance.gouv.fr/affichTexte.do?cidTexte=JORFTEXT000018871605&dateTexte=

3 LOI n° 2008-492 du 26 mai 2008 relative aux emplois réservés et portant dispositions diverses relatives à la défense (1)
http://www.legifrance.gouv.fr/affichTexte.do?cidTexte=JORFTEXT000018871621&dateTexte=

4 LOI n° 2008-493 du 26 mai 2008 ratifiant l’ordonnance n° 2005-883 du 2 août 2005 relative à la mise en place au sein des institutions de la défense d’un dispositif d’accompagnement à l’insertion sociale et professionnelle des jeunes en difficulté et l’ordonnance n° 2007-465 du 29 mars 2007 relative au personnel militaire, modifiant et complétant la partie législative du code de la défense et le code civil, et portant diverses dispositions relatives à la défense (1)
http://www.legifrance.gouv.fr/affichTexte.do?cidTexte=JORFTEXT000018871685&dateTexte=

EMI Music France taille

Face à «l’aggravation du marché de la musique», la major prévoit de supprimer 21 postes.

L’onde de choc a fini par atteindre l’Hexagone. En janvier, la major EMI, rachetée par le fonds Terra Firma, annonçait un plan de restructuration mondial prévoyant de rayer plus de 1 500 postes au niveau mondial. On sait désormais que la filiale française devra supprimer 21 postes sur les 231 qu’elle compte actuellement. C’est la troisième saignée depuis 2004. L’an dernier, 60 postes ont déjà été rayés. La direction de la filiale française a présenté son «projet de réorganisation» au comité d’entreprise vendredi. Elle espère parvenir, d’ici deux ou trois mois, à une «adaptation des effectifs découlant d’une chute des résultats de la société».
La suite de l’article sur lefigaro.fr

Capdenac. Forest-Liné : 40 emplois toujours sur la sellette

Chez Forest-Liné Capdenac, les débrayages se succèdent après l’annonce du licenciement possible de 40 emplois par la direction du groupe. Les salariés ont ainsi débrayé 30 minutes vendredi dernier pour « accueillir » leur PDG, M. Prot, venu prendre part à la seconde réunion du Plan de sauvegarde de l’emploi avec les représentants du comité d’entreprise (CE). Les deux parties n’ont visiblement pas réussi à tomber d’accord. Ainsi, un nouveau débrayage a eu lieu, hier, pour le compte rendu de cette réunion.
La suite de l’article sur ladepeche.fr

Fusion GDF-Suez: le CCE de GDF rend un avis négatif

Le comité central d’entreprise de Gaz de France a rejeté le projet de fusion de l’entreprise publique avec Suez, a indiqué lundi une porte-parole. Cet avis consultatif ouvre la voie à la poursuite du processus.

Onze élus sur 20 ont pris part au vote et voté contre le projet, la CGT s’étant abstenue.

La fusion de l’opérateur gazier avec Suez aurait été empêchée si le comité central d’entreprise n’avait pas rendu cet avis consultatif. La réunion était présidée par Jean-Francois Cirelli, le président-directeur général de GDF.
La suite de l’article sur nouvelobs.com

Commet une faute grave le salarié qui à l'issue d'un congé sans solde…

Commet une faute grave le salarié qui à l’issue d’un congé sans solde ne reprend pas son poste comme il s’y était engagé.

En l’espèce, un cadre supérieur a sollicité et obtenu de son employeur un congé sans solde de 2 ans, pendant lequel il a occupé un poste de dirigeant dans une autre société. Il avait obligation de faire connaître ses intentions de reprise 3 mois avant le terme de son congé. Sans nouvelle de ce salarié l’employeur l’a relancé par courrier un mois avant le terme de son congé, lequel a indiqué par la suite vouloir reprendre son poste. Toutefois, il ne s’est plus manifesté en ce sens, ce qui lui valu d’être licencié pour fautes graves en septembre de la même année.
La suite de l’article sur net-iris.fr

Une indemnité transactionnelle dérisoire ne constitue pas une véritable…

Une indemnité transactionnelle dérisoire ne constitue pas une véritable concession de la part de l’employeur initiateur de la rupture

La transaction conclue entre le salarié et l’employeur après la rupture du contrat de travail, a pour but de mettre fin à un litige au moyen de concessions réciproques. Dès lors, si le juge n’est pas censé trancher le litige auquel la transaction légalement formée devait mettre fin, il peut tout même contrôler l’existence de concessions réciproques.
En l’espèce, un employeur procède au licenciement pour faute grave d’un salarié, c’est-à-dire sans versement d’indemnité. Toutefois, le salarié estime que son licenciement est sans cause réelle et sérieuse et entame des négociations avant d’assigner son employeur en justice. Ce dernier accepte de signer un accord transactionnel, prévoyant le versement d’une indemnité de 4.500 euros, soit l’équivalent d’environ 2 mois de salaire. N’étant pas satisfait de cet accord, le salarié conteste la validité de celui-ci devant le Conseil des prud’hommes.
La suite de l’article sur net-iris.fr

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