Salariés et syndicats de l’aciérie ArcelorMittal de Gandrange (Moselle), qui ont appris une possible suppression de 700 emplois dans leur usine, se préparaient jeudi, consternés, à une « réorganisation » du site qui doit leur être annoncée la semaine prochaine.
« Si c’est vrai, c’est incompréhensible », déclare Marcel G., un lamineur de 53 ans employé depuis 23 ans dans l’usine. « La demande mondiale d’acier n’a jamais été aussi forte et les bénéfices d’ArcelorMittal aussi élevés. Et on voudrait fermer Gandrange? », ajoute-t-il abasourdi.
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