L’économie française aurait-elle des raisons particulières de redouter les retombées de la crise des prêts immobiliers à risque américains ? À première vue, ni plus ni moins que ses voisines européennes. Il faut donc chercher ailleurs l’explication à la nette correction en baisse apportée hier par la Commission européenne à sa prévision de croissance pour l’Hexagone cette année.
Suite de votre article sur latribune.fr