Cette première semaine de janvier s’annonce importante pour l’avenir de Libération. Les salariés, élus de la Société civile des personnels de Libération (SCPL), se prononceront mercredi 3 janvier sur les changements de statuts de la société exigés par le premier actionnaire Edouard de Rothschild (38,8 % du capital) pour recapitaliser le journal.
Si le « oui » l’emporte, Libération deviendra une société anonyme avec conseil de surveillance et directoire. Les salariés renonceront à leur droit de veto sur des questions importantes comme les changements d’actionnaires.
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