La France concentrait 1 032 717 m3 de déchets nucléaires sur son sol au 31 décembre 2004. En 2020, ce volume devrait avoir doublé. Au-delà, « les estimations deviennent particulièrement fragiles, car dépendantes de l’avenir (…) de la production électronucléaire », indique l’Agence nationale pour la gestion des déchets radioactifs (Andra), qui a rendu public, mardi 7 mars, l’inventaire national 2006 des déchets nucléaires et matières valorisables (www.andra.fr).
Ces déchets sont issus pour leur majorité de l’industrie nucléaire (62,5 % du volume), de la recherche (24,1 %), de la défense (10,1 %), de l’industrie non nucléaire (3,1 %) et du médical (0,2 %).
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