Ils survivent. Grâce à quelques heures de travail, d’un bout d’allocation, d’un salaire trop maigre. On les appelle pudiquement les travailleurs pauvres. « On a de la chance, disent-ils. Il y a bien pire que nous. Il y a des gens qui n’ont rien. » Mais dans leurs vies fragilisées, un incident suffit pour basculer. Une facture imprévue, un avis de la Caisse d’allocations familiales (CAF), une amende…
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