Il paraît désormais impossible de rendre la fusion irréversible avant l’élection présidentielle.
APRÈS la décision du Conseil constitutionnel de reporter au 1er juillet 2007 le caractère effectif de la privatisation de Gaz de France soit après l’élection présidentielle le dossier Suez-GDF a pris un tour plus que jamais politique. Toute la journée d’hier, les réactions de tous bords se sont ainsi multipliées (lire ci-dessous). Parallèlement, au ministère de l’Économie, on soulignait être rentré dans une phase d’expertise juridique, afin de mesurer tous les impacts de la décision des Sages.
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