La force de l’euro et la politique de la Banque centrale européenne (BCE) se sont immiscées dans la campagne présidentielle.
Mardi 14 novembre, alors qu’il était à Toulouse pour rassurer Airbus et ses sous-traitants, le premier ministre français Dominique de Villepin a proposé que l’Union européenne se dote d’un « bouclier monétaire » et d’une « véritable stratégie de change » intégrant des objectifs de croissance, d’emploi et de protection de l’industrie. Le premier ministre a estimé que les difficultés du groupe aéronautique sont aussi « la conséquence d’un euro trop fort » par rapport au dollar, « qui pénalise notre industrie face à la concurrence américaine ».
La suite de l’article sur lemonde.fr