Laurence Parisot propose d’instituer, à côté du licenciement pour faute, un licenciement à l’amiable. Une idée qui ne séduit pas du tout les syndicats, qui pointent le risque d’arbitraire.
Laurence Parisot n’aime pas le conflit et veut « pacifier » les relations entre l’employeur et les salariés. Pour cela, la présidente du Medef veut instituer, à côté du licenciement pour faute, un licenciement à l’amiable. Faussement ingénue, elle s’est demandée à voix haute vendredi matin sur France 2 pourquoi il faudrait forcément « rester dans une logique qui est très culpabilisatrice (sic), où il faut forcément que ce soit la faute de quelqu’un ».
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