Pour tenter de sauver ce qui peut l’être, le groupe informatique américain Hewlett-Packard (HP) a réuni d’urgence, dimanche 10 septembre, par téléphone son conseil d’administration. Après plusieurs heures de discussions, ce dernier s’est séparé sans publier de communiqué et prendre de décision sur l’avenir de sa présidente Patricia Dunn, dont plusieurs voix demandent la démission. Car cette dernière a engagé, au milieu de l’année 2005, des détectives privés, qui ont utilisé des moyens contestés passibles de poursuites pénales, pour enquêter sur les origines d’une fuite dans la presse. Les administrateurs doivent se retrouver à nouveau lundi.
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