Les salariés occupent la fabrique de caoutchouc, arrêtée depuis septembre.
Le tribunal de grande instance de Grenoble a ordonné, mercredi, de libérer l’accès à l’usine Polimeri de Champagnier, près de Grenoble, mais sans réclamer l’expulsion manu militari des salariés qui occupent le site depuis le 13 juillet. Ils rejettent le plan social de la direction qui devait s’appliquer dès le 18 juillet : un «plan vide, au rabais», selon les syndicats.
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