Le plan de départs négocié a suscité plus de candidatures volontaires que prévu. Hier, un comité d’entreprise a réglé la question.
QUEL IMBROGLIO ! Chez Hewlett-Packard en France, le plan de départs négocié par les partenaires sociaux a attiré trop de candidats. Au total, le projet a séduit 436 personnes de plus que ce qui était finalement négocié, c’est-à-dire 857 postes. Ce surcroît de « vocations » s’explique par les conditions financières proposées : elles peuvent atteindre jusqu’à trois années de rémunération. Malgré cet excédent de candidats au départ, des licenciements secs sont encore redoutés par plusieurs syndicats, pour des emplois de techniciens et pour des postes aux ressources humaines.
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