Les carabiniers italiens ont découvert, lundi 17 juillet dans les Pouilles, une région du sud de l’Italie, des « camps de travail forcé », dont ils ont libéré 113 ressortissants polonais qui y étaient détenus dans des conditions proches de l’esclavage.
D’après l’enquête, qui a été menée conjointement par les polices polonaise et italienne dans le cadre d’un mandat d’arrêt européen, ces clandestins travaillaient dans les champs dix à quinze heures par jour pour un salaire de 2 euros. Ils étaient surveillés par des chiens et des gardiens armés, qui se qualifiaient eux-mêmes de « kapos ».
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