« Ce n’est pas un enlèvement […]. C’est une affaire de détresse sociale […]. C’est une affaire de soirée entre enfants qui n’a pas été gérée correctement par des adultes qui les avaient en charge de responsabilité », a déclaré simanche après-midi le procureur de la République d’Angers Brigitte Angibaud. C’est euphémisme de dire que l’affaire des deux fillettes portées disparues puis retrouvées saines et sauves à Bouillé-Ménard dans le Maine-et-Loire accouche d’une souris. Elles n’ont pas été enlevées comme les autorités l’avaient cru, déclenchant pour la première fois en France, le plan « alerte enlèvement ».
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