Romans (Drôme) s’inquiète à nouveau pour l’avenir des chaussures Charles Jourdan. Le « couple » de repreneurs, désigné le 28 octobre 2005 par le tribunal de commerce pour poursuivre l’activité du chausseur de luxe, en dépôt de bilan depuis le 22 août 2005, n’a pas tenu très longtemps. Et les engagements, affichés alors, tardent à se concrétiser.
Dès le 20 décembre 2005, le divorce était consommé entre le fonds d’investissement suisse Avendis Capital et Philippe Cardon, ancien PDG de Vivarte (ex-André), agissant pour le compte de Guy Laroche (propriété du groupe chinois YGM), qui, après avoir fait des offres concurrentes, s’étaient unis in extremis pour reprendre le chausseur.
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