Le « contrat première embauche » souhaité par le Premier ministre rencontre une très vive opposition des syndicats de salariés et des mouvements étudiants et lycéens. Son but : donner plus de souplesse au marché du travail, dans une économie confrontée aux exigences de la mondialisation.
Le problème de fond se situe en amont. C’est celui de l’inadéquation de la formation et du monde du travail. Notre pays souffre d’un système éducatif archaïque et sclérosé.
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