Jacques Chirac, qui se rend en visite officielle en Inde, dimanche, a décidé, mardi 14 février, de se saisir « personnellement » du brûlant dossier du Clemenceau. Et, mercredi, il a réagi sans attendre à la décision du Conseil d’Etat de suspendre le transfert du porte-avions vers l’Inde, pour son désamiantage, en ordonnant son rapatriement. « Le président de la République a décidé de placer ce navire dans les eaux françaises dans une position d’attente qui offre toutes les garanties de sécurité jusqu’à ce qu’une solution définitive soit trouvée pour le démantèlement », a indiqué l’Elysée dans un communiqué.
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