Le cigarettier franco-espagnol s’apprête à lancer un nouveau plan d’économies concernant son activité de distribution et les fonctions administratives.
LES PLANS D’ÉCONOMIE se succèdent à un rythme soutenu chez le cigarettier franco-espagnol Altadis, depuis la création de ce groupe en 2000. Le dernier plan de sauvegarde de l’emploi (PSE) lancé en 2003 s’est terminé le 31 août dernier sur un symbole, avec la fermeture de l’usine de Lille qui fabriquait des gauloises et des gitanes brunes. Cette première phase de restructuration s’est soldée par la suppression de 1 500 postes en Europe sur un effectif de 27 000 salariés.
La suite de l’article sur lefigaro.fr