Certains faux allocataires ont été recrutés dans des cafés du 12e ou du 20e arrondissement de Paris. Un autre a répondu à une offre faite à la station de métro Bonne-Nouvelle. Depuis 2002, les affaires d’escroquerie organisée aux Assedic se sont multipliées. Selon les magistrats et les policiers spécialisés, la raison en est simple : les progrès de la technologie en matière de photocopie permettent désormais aux faussaires de constituer des dossiers de demandes d’allocation plus vrais que nature.
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