La direction du groupe américain veut remettre en question l’accord sur les 35 heures pour réduire les coupes claires. Les syndicats s’y opposent.
MALGRÉ les prises de position très fermes du gouvernement et des élus politiques de l’Isère, les négociations piétinent entre Hewlett-Packard et les syndicats. Chacun campe sur ses positions alors que les négociations sur le plan de 1 240 suppressions d’emplois dans l’Hexagone doivent reprendre demain après un mois et demi d’interruption au siège du groupe à Issy-les-Moulineaux (Hauts-de-Seine). Durement critiquée, la direction de la filiale française est décidée à remettre en question l’accord sur les 35 heures signé en 1999 pour réduire les coupes claires.
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