Lundi, les syndicats et la direction de Flextronics ont confirmé le licenciement des salariés du site de Laval. « A la suite de la fermeture du site, 503 salariés vont être licenciés. Les 200 premiers recevront leur lettre de licenciement le 2 novembre, 50 personnes le 2 décembre, et les derniers fin décembre », a précisé Anthony Bichot, délégué CGT du sous-traitant électronique Flextronics, spécialisé dans la téléphonie mobile. « Nous avons confirmé notre désengagement », a ajouté le directeur de l’usine, Patrick Brunet, à l’issue d’une réunion entre la direction et les syndicats.
Les salariés s’attendaient à cette décision. En mai, les syndicats avaient été alertés de la possible fermeture du site par un document interne confidentiel de la direction.
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