Orange, SFR et Bouygues Télécom se seraient mis d’accord entre 1997 et 2002 pour « pacifier » le marché de la téléphonie mobile, et s’en partager les fruits. C’est ce que conclut une enquête de la Direction de la concurrence et de la répression des fraudes (DGCCRF) pour le coimpte du Conseil de la Concurrence. Les opérateurs nient en bloc toute forme de cartel. Le verdict est attendu d’ici la fin de l’année.