« Danone, c’est la cathédrale de Chartres, et on n’achète pas la cathédrale de Chartres ! » , se plaisait à dire feu Antoine Riboud. Son fils et successeur Franck, PDG du premier groupe alimentaire français, pourrait reprendre la formule à son compte aujourd’hui, au vu de la mobilisation politique que suscite son groupe.
La suite de l’article sur lemonde.fr