L’affaire avait fait grand bruit il y a deux ans, et contribué à alimenter la polémique sur les patrons voyous. Fin août 2003, le propriétaire italien des chips Flodor déménage en catimini les chaînes de production, provoquant le lent déclin de l’entreprise installée à Péronne dans la Somme. Unichips pensait sans doute pouvoir clore l’histoire. En février dernier, la liquidation judiciaire est prononcée et, avec elle, le chômage des 185 salariés.
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