L’Adae va solliciter le Conseil de la concurrence pour savoir si les financements publics de logiciels « open source » sont légaux.
Au Royaume-Uni, Tony Blair annonce en grandes pompes l’ouverture d’une Open Source Academy. En France, la très officielle Agence pour le développement de l’Administration électronique (Adae) qualifie les éditeurs classiques de logiciels de « dinosaures » dont le modèle économique est « voué à la disparition ». Quasiment partout en Europe, le logiciel libre a le vent en poupe, poussé par les Etats. Qui commencent justement à se demander jusqu’à quel point ils peuvent le pousser sans nuire aux logiciels commerciaux.
La suite de l’article sur 01net.com