C’est le dénouement d’un feuilleton politico-scientifique à suspense.
Les rebondissements ont été si nombreux, dans un dossier où enjeux technologiques, pressions diplomatiques et contraintes budgétaires sont inextricablement imbriqués, que l’on a craint jusqu’au dernier moment que l’épilogue ne soit une nouvelle fois différé. Mais les six partenaires Europe, Japon, Etats-Unis, Russie, Chine et Corée du Sud du projet de réacteur expérimental à fusion thermonucléaire ITER ont finalement annoncé, mardi 28 juin à Moscou, lors d’une rencontre ministérielle, le choix du site français de Cadarache (Bouches-du-Rhône). Et mis sur pied, dans la foulée, les structures provisoires de management du programme.
Lire l’article sur Lemonde.fr