La privatisation de France Telecom, lancée en 2002 par Lionel Jospin, revient sur le devant de la scène.
En effet l’ Etat, pour « réduire l’endettement de la nation », a lancé hier la vente à des investisseurs institutionnels de 9,6 % à 12,1 % du capital. L’Etat n’en détiendra plus que 41 % à 43,5 %.
Les 4,5 à 5,7 milliards d’euros de cette vente doivent servir exclusivement à « réduire l’endettement de la nation ». Une nouvelle rupture pour les salariés, passés d’une administration à une entreprise privatisée.