« L’Etat n’a pas vocation à rester majoritaire », a déclaré, hier soir, Thierry Breton. Le plan de redressement prévoit une avance de 9 milliards d’euros de l’Etat. Banques, actionnaires et salariés seront sollicités.
L’augmentation de capital aura lieu dans un second temps. En outre, une réduction drastique des investissements est prévue, ainsi qu’une baisse des coûts de fonctionnement et une réorganisation de l’entreprise.